"Rhââ Lovely !", mais "what the fuck ?"



Big bazar et cartons partout, sacs de bulles et papiers de soie, morceaux de cartons et bouts de papier, empilement de books et de merdouilles… Voilà à quoi ressemble ces jours-ci la partie basse de mon atelier. 
Mais je vous fais grâce du squatt pré-déménagement et prends quelques photos sur la partie haute, là où, petit à petit, l'accrochage de l'expo Faut que j'moove ! prend forme, avec du neuf et du moins neuf. 

Côté rue, le trait filaire est déroulé en couleurs, sur grands formats le plus souvent, et petits quelques fois. De l'intime et de l'engagé, du “Rhââ Lovely !” et du “What the fuck ?”. Bref du ARySQUE, version toiles, dessins et ersatz d'installation (désolée, j'ai pas la place…).
Un espace plutôt coloré où tentent de se cacher les trois structures fanées de mon totem, témoins infaillibles du temps qui passe… Sans y parvenir tout à fait.

Côté cour, côté lumière, des fleurs ressuscitées, des petits cailloux qui causent, des madones et des anges… Bref, des histoires à dormir debout, parce que "Certaines histoires se promènent de par le monde à la recherche de certains épisodes qu'elles pourraient s'adjoindre". (Howard. A. Norman. L'Os à vœux, recueil de poèmes des Indiens crees). 

Rien n'est prêt mais tout devrait l'être pour vous recevoir une dernière fois à l'atelier Popincourt entre le 4 et le 6 décembre prochains. Vivement décembre !



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